"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Voici des vagabonds, demi-fous, demi-dieux, c'est-à-dire les premiers venus, aux prises avec le chamanisme modeste du souvenir. Ce sont des images-talismans qu'on a roulées comme des phrases, depuis toujours, sans avoir su, pendant longtemps, que c'étaient des poèmes.
L'incendie de l'Alcazar trace des portraits, tout d'abord celui de l'auteur métamorphosé en poète, et ceux de peintres. David Bosc évoque des moments de l'enfance, le désoeuvrement et la mélancolie adolescente, alors que l'étonnement a passé, et que le passage à l'âge adulte est venu. Il décrit de manière intime le lien au vivant, animal et végétal, par le truchement de détails, de paysages. Certains poèmes disent le rapport à l'autre, la solitude, l'utopie et le rêve de la collectivité. Au fil des poèmes se dessine une autre façon de vivre, de regarder le monde, sans nostalgie et avec constance.
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