"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ces 228 lettres de Georges Hyvernaud à sa femme livrent un témoignage historique, d'un réalisme rare, sur la vie quotidienne dans les camps d'officiers prisonniers pendant la Seconde Guerre mondiale. Son unité de pionniersa été capturée par les Allemands dès la fin mai 1940. C'est le début d'un interminable temps de captivité : Après 18 mois de barbelés, on se sent tellement en marge, tellement hors du jeu, qu'on ne sait plus très exactement le rapport qu'il y a entre M. Hyvernaud, professeur à Turgot ou ailleurs et le Kriegsgefangener n° 995 qui vient de torcher sa gamelle avec un morceau de pain et qui cherche un bout de ficelle pour faire sécher ses chaussettes »... Hors du jeu, Georges Hyvernaud le demeurera jusqu'en avril 1945, prisonnier des oflags du Grand Reich : Grosborn, Arnswalde, Soest enfin...
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