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À l'automne 1952, Margherita Pieracci - la Mita à qui sont adressées ces lettres - entre pour la première fois en contact avec Vittoria Guerrini qui adoptera plus tard, entre autres pseudonymes, celui de Cristina Campo. Mita a vingt-deux ans, Vittoria est de sept ans son aînée. Toutes deux ont été profondément marquées par la lecture de Simone Weil et c'est sous le signe de cette admiration commune que naît une amitié qui ne prendra fin qu'avec la mort de Vittoria, vingt-quatre ans plus tard. Les longues périodes de séparation entre les deux amies seront nourries par un échange épistolaire constant. On en discerne la haute valeur littéraire et humaine dans ces Lettres à Mita réunies par leur destinataire et qui constituent une oeuvre à part entière. Les lettres de Cristina Campo épousent au plus près sa ligne de vie. Parfois douce, parfois incantatoire, parfois âpre et cinglante, l'écriture dessine une géométrie spirituelle où prennent corps des pensées dont l'ardente densité n'a d'égale que la transparence. On découvre une femme engagée de toute son âme dans la recherche inlassable de la vérité et de la beauté, et qui affronte le désarroi, la douleur et l'angoisse en se fiant à quelques talismans : attention, exigence, perfection, poésie.
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