"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Depuis plus de dix siècles Shéhérazade enflamme notre imaginaire, mais sa propre parole, on ne l'avait presque jamais entendue. Taha Hussein la fait parler alors que devenue Reine ; elle soulage son mari en continuant à lui distiller des contes de sagesse et de devoirs.
Jamais traduit en français, ce récit à tiroirs comme les Nuits nous conforte sur le rôle civilisateur de cet idéal féminin.
André Miquel nous offre en un magnifique au revoir un texte de la femme sauveuse.
Dia Azzawi, le grand peintre irakien, complète par quinze dessins, des détails et la couverture de ce livre le portrait de cette héroïne absolue.
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