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On les appelait, jadis, dans les mines de charbon, les pénitents. A cause de leur longue cape de pélerin à capuche. Paradoxalement, le salaire de la peur de ces condamnés à mort par la justice des hommes, était la vie. Ils devaient leur grâce au fait d'être volontaires pour arpenter, la nuit, en rampant dans les galeries de la mine, figures fantomatiques, un bâton enflammé à la main pour déclencher l'embrasement des poches de grisou.
Jean-Louis Guidez raconte ici l'histoire de ces forçats du charbon dont la tâche était précisemment de sauver la vie aux mineurs de fond, en prévenant les explosions de gaz maudit. Il présente aussi certains textes au caractère fortement autobiographique.
Après Les beffrois d'acier, son avant-dernier ouvrage sur le milieu minier, Les pénitents du grisou poursuit l'évocation de notre histoire régionale sous la forme de nouvelles en image.
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