"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Séquestré dans une cave, le commandant Benoît Lorand est à la merci de Lydia, belle femme au comportement hiératique et tortionnaire.
Il lui faudra fouiller dans son passé pour comprendre les motivations de sa geôlière...
Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu...
Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le trou noir.
Quand le commandant Benoît Lorand se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans l'horreur. Lydia le retient prisonnier. L'observe, le provoque, lui fait mal.
Rituel barbare, vengeance, dessein meurtrier, pure folie?
Une seule certitude : un compte à rebours terrifiant s'est déclenché.
Combien de temps résistera-t-il à ces morsures de l'ombre, infligées par cette femme assoiffée de vengeance ?
Un récit noir magistral et tendu à l'extrême, où les auteurs nous entraînent dans un huis clos glaçant au coeur de la folie d'après le bestseller multiprimé de Karine Giébel.
Prisonnier, enfermé, désarmé.C'est dans une cage que se réveille le commandant de police Benoît Lorand. Une cave, des barreaux, que fait-il là ? Il se souvient, hier soir, une jolie rousse, Lydia... Il s'est fait avoir. Mais pourquoi ? La réponse de Lydia est assez claire: elle veut le regarder mourir. Au commissariat central de Besançon, on part à la recherche de Benoît.
Chez Philéas, on continue les adaptations graphiques de romans à succès. Miceal Beausang-O'Griafa (la série Visages chez Glénat) adapte le roman de Karine Giebel, célèbre auteure française de polars. Les morsures de l'ombre, prix sncf du polar en 2009, part d'un face à face en huis-clos entre une geôlière et un flic captif. Le récit va chercher à éclaircir le pourquoi du comment...
Xavier Delaporte avait arrêté de dessiner. Il a décidé de replonger dans ce véritable exercice de style très inspiré du comics de polar us. Forcément la plupart des scènes sont sombres, dans un noir-bleu-gris, avec les deux personnages principaux séparés par des barreaux. Le reste de la narration est plus coloré, on y suit la vie de Lydia et l'enquête pour retrouver Benoît. Notons que la colorisation est de Greg Lofé.
Les amateurs de polars trouveront leur compte dans cette adaptation réussie. L'album se lit d'une traite car l'intrigue nous prend dès le début et on a hâte de savoir... Te laisseras-tu tenter ?
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