"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
ÿþ " Après L'Enfant de la guerre et L'Enfant de l'exil, ce troisième volet de l'autobiographie de Lojze Kovacic commence à la libération de Ljubljana le 9 mais 1945. Les points forts de ce volume sont la déportation en Autriche de la mère (d'origine allemande) et de la soeur du jeune Bubi qui se retrouve livré à lui-même dans une ville transformée par la fin de la guerre. Emprisonné pour vol à la tire, placé dans un foyer dont il s'évade, le jeune garçon mène une vie de vagabondage pendant laquelle il commence à écrire pour des revues, puis participe à des travaux agricoles et à la construction d'une ligne de chemin de fer. Le roman s'achève sur ses retrouvailles avec sa famille en 1952 au camp de Kellerberg.Grande oeuvre littéraire, ce troisième tome des Immigrés est aussi une fresque saissante de l'atmosphère de la Yougoslavie au début de la période communiste.
" Fils d'un émigré slovène et d'une Allemande, Lojze Kovacic est né à Bâle en 1928 et à vécu en Slovénie de 1938 à sa mort, en 2004. Son Suvre narrative - de nombreux romans construits comme des mosaïques et des nouvelles - reflète le destin de sa famille, miroir du drame d'un siècle devenu fou. Il est le romancier le plus important de la littérature slovène contemporaine.
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