"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Une absence pèse un poids beaucoup plus intolérable qu'une présence. Contre une absence, on ne peut pas se battre. Elle est un mal qui ronge jusqu'au jour où, dans l'éclair d'une rencontre, le voile se déchire¿ : «Ce n'était que cela...», se dit Jean Dumont, mais pour se libérer il a dû se plonger dans la nuit de Paris des années 50. En vivant la nuit - en vivant aussi la nuit -, il a lutté contre ce monstre caché au fond du labyrinthe¿ : le temps dévorant. Sur son chemin, il a rencontré des êtres qui lui ont tenu la main un instant. Il n'était pas aussi seul dans la vie qu'il l'aurait cru, et Paris est une ville grosse de mystères, de tendresses inattendues et de violences soudaines. Paris est une ville in¿niment poétique où les femmes ont reçu le don de guérir les hommes de leurs obsessions.» Michel Déon.
Et comment un chagrin d’amour vous conduit à intégrer la Légion étrangère et à errer dans les rues de Paris à la recherche du temps perdu … « Contre une absence on ne peut se battre ». En vivant la nuit, le héros de ce roman sympathique lutte contre ses obsessions, ses manques, la douleur d’avoir perdu l’être aimé. Il sera sauvé du désespoir quand d’autres lui tendront la main. Le Paris des années 50 est décrit avec humour et lucidité, une belle promenade nocturne en compagnie de Michel Déon.
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