"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Août 1775.
« C'est arrivé un jour où je peignais des roses.
J'eus l'impression que j'avais oublié de respirer une fraction de seconde et de me réveiller en sursaut avec la certitude d'avoir échappé à la mort. Je me suis vu peindre et presque admirée. J'ai ressenti un bonheur immense m'envahir, en souhaitant que cette vie-là soit longue. ».
Louise de La Magdaleine n'a que dix-sept ans mais cache un secret depuis des siècles, elle renaît sans cesse.
Jeune peintre prometteuse, elle est confiée aux Sarangdon, ce couple d'Irlandais venus se réfugier dans cette France du XVIIIe que le fébrile Louis XVI gouverne. Elle doit peindre le portrait d'Aisling dont les dernières forces s'épuisent. S'y refusant, elle s'échappe malgré les efforts que le comte Gabriel d'Abeline déploie pour l'en empêcher. Cette nuit-là, elle est témoin d'un complot fomenté contre Turgot, elle fuit mais est rattrapée et agressée par le comte de Cambrone.
Dans cette vie, Louise tissera des liens avec le comte Gabriel d'Abeline.
Elle partira en exil en Irlande où elle épousera la philosophie des Druides et des Celtes, verra son grand amour lui glisser des doigts. Finalement, elle découvrira que tous les membres de son entourage cachent eux aussi un secret.
« Avant, je me contentais de mettre ma mémoire en sourdine, de faire comme si elle n'existait pas et de vivre cette vie qui se présentait.
De faire comme si tout était normal. Je vivais cela sans me révolter, je n'avais pas le choix. Jusqu'à ce que je rencontre Gabriel. »
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