Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
L'ouverture du canal d'Ille de rance à la navigation en 1834 engendra un type nouveau de chalands : il n'y avait pas de chemin de halage entre l'écluse du Châtelier et Saint Malo. Ces bateaux devaient donc être équipés pour une navigation maritime, en conséquence ils possédaient deux mâts munis d'une "voile au tiers"... les eaux de l'estuaire de la Rance étant maritimes, seuls les navires munis d'un rôle d'équipage avaient le droit d'y naviguer, les chalandiers de la Rance n'eurent donc pas à subir la concurrence de confrères qui devaient s'arrêter au vieux pont de Dinan. Le rail, à la suite de l'ouverture du tronçon de voie ferrée entre rennes et Saint-Malo, leur causa un tort considérable. Quelques-uns, cependant, qui furent dotés d'un moteur, d'autres ayant recours à des remorqueurs, purent continuer pendant longtemps encore à transporter bois, charbon, sable. L'auteur, venu habiter à Plouër-sur-Rance, pour raison professionnelle, y découvrit la richesse du passé maritime des bords de l'estuaire. C'est bien évidemment le milieu maritime (père, grand-père capitaines au long cours pour ne pas remonter plus loin) dans lequel il a vécu étant enfant, qui l'a incité à entreprendre des travaux de recherches sur la vie des bords de rance (pêche côtière, à Terre-neuve, au long cours, bornage). Aujourd'hui en retraite, il concrétise ses études sous forme de livres et fabrique des maquettes pour être encore plus dans l'atmosphère du sujet qu'il traite !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs