80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Marina et Doumbala, deux demoiselles flamboyantes aux yeux pétillants, travaillaient comme « masseuses de la République » en voyageant de ville en ville, de pays en pays. Elles aimaient les mondanités et fréquentaient des hôtels huppés pour répondre aux sollicitations d'une clientèle prestigieuse. Elles avaient le goût du risque et ne rechignaient pas face à la peur de l'inconnu. En Russie, invitées par Kriskov, un riche oligarque, elles avaient été émerveillées par le faste incroyable de son cadre de vie. Mais jamais de la vie, elles n'oublieraient le fait divers curieux... et désagréable... qui s'était passé dans sa « datcha ». Elles avaient deux amies avec qui elles n'avaient pas de but commun. L'une, de Palestine, s'appelait Amanda?; et l'autre, Israélienne juive, Aliza, était responsable de la bijouterie du Rhône. Les deux demoiselles, de religion différente, travaillaient en toute intelligence dans un respect mutuel. Elles avaient ainsi décidé de vivre dans le même appartement, et elles prônaient la tolérance, l'amitié, l'amour et la paix, sans oublier que leurs pays vivaient une situation conflictuelle sans fin. Malheureusement, un jour, un individu, en faisant prévaloir de vieux préjugés, braqua spectaculairement et incroyablement la bijouterie d'Aliza.
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