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Voici donc l'histoire de Jean-Baptiste Taillefer, fils d'Urbain et de Victorine.
Depuis la mort du père, l'homme vit seul sur ces garrigues d'asphalte pilées, perchées au nord de Saint-Justin, derrière le plateau de la Jasse, dans une gerbe d'herbes perdues et de genêts millénaires. Il ne sait pas grand-chose des femmes, à part ce qu'il en a vu sur les calendriers de motoculteurs et de tronçonneuses offerts à son père par un boutiquier, avec deux cents kilos d'aliments pour les poules et un peu de poudre pour conserver les pommes de terre.
Mais il va apprendre à les connaître, à les aimer, à les perdre aussi en se perdant lui-même dans un monde rural destiné aux plus invraisemblables mutations. A cause du soleil et des effluves marins, à cause d'une bande de couillons qui confondirent la couleur du bonheur avec celle de l'argent.
Un auteur que je ne connaissais pas. Un roman intéressant.
C’est l’histoire de Jean-Baptiste Taillefer, 40 ans, une force de la nature, sauvage, qui vit seul après la mort de son père, dans une maison isolée, peu salubre, au cœur des garrigues.
Une belle description du monde rural qui disparaît, du progrès censé amené le bonheur. On sent une bonne connaissance du monde paysan actuel.
Le style est très bon. L’auteur malmène un peu son personnage qui reste cependant attachant malgré ses défauts.
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