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La plus grande histoire d'amour de tous les temps« Voulez-vous que je vous dise une belle histoire d'amour et de mort ? » C'est par ces mots que commençait la plus éblouissante, la plus tendre et cruelle légende jamais racontée par les bardes dans les royaumes celtiques, celle de Tristan et Iseult.Depuis son adolescence, Catherine Hermary-Vieille rêvait de cette oeuvre magique dont le thème fut si souvent repris, mais dont l'audace, la violence, les multiples péripéties restent curieusement méconnues.Respectant la trame primitive de l'intrigue classique, Le Rivage des adieux ressuscite passionnément la liaison adultère et tragique d'une très jeune reine, l'indestructible fidélité de son amant, les atermoiements pathétiques d'un roi trahi par son épouse et son neveu, harcelé par des barons perfides derrière les murailles d'une vieille forteresse battue par les flots de la mer d'Irlande.Si, depuis l'aube des temps, l'amour reste une énigme, ne faut-il pas s'il survient, le recevoir avec bonheur, l'accepter comme le plus précieux des dons, même s'il s'avère parfois si difficile à vivre ? Par-delà leur impérissable passion, les amants immortels témoignent que seul l'amour peut transcender notre existence, faire basculer nos croyances, repousser les limites de nos horizons, nous faire même entrevoir des terres mystérieuses où s'accomplissent enfin les noces éternelles des corps et des âmes.
Ce n’est pas le titre, mais la quatrième de couverture qui m’a attirée.
Tristan et Yseult ! !
Si on entend Tristan, on pense Yseult, on pense passion…. Mais quelle est vraiment leur histoire ?
Ignare, je l’ignorais avant cette lecture.
Tristan est prince de Cornouailles, orphelin, sous la protection de son oncle,
le roi Marc.
Yseult est irlandaise, fille du roi Gormond et de la reine Yseult.
La légende est bien racontée par Catherine Hermary-Vieille.
J’ai tourné les pages avec intérêt pendant la moitié du livre, mais au final, j’ai trouvé ces 400 pages assez longues. D’autant que si l’ambiance est bien rendue, la passion qui unit Tristan est Yseult est certes bien dépeinte, mais il manque une dimension pour faire vibrer le lecteur.
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