"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Quand Teddy, professeur dans une université américaine, revient avec sa femme, Ruth, dans la maison de son enfance, à Londres, il retrouve sa famille qui n'a pas quitté la vieille demeure. Max, son père, Sam, son oncle, Lenny et Joey, ses frères. Ce retour est l'occasion d'une série de rencontres... Les ressorts du réalisme pintérien sont essentiellement la peinture de comportements confus et contradictoires, la miniaturisation ou le grossissement démesuré d'un détail. Le dialogue, souvent cru, est composé de sous-entendus, de mal-entendus, et de pas-entendus du tout, à travers lesquels les personnages tentent d'accepter leur désaccord fondamental. Le retour a été créé à Londres par la Royal Shakespeare Company à l'Aldwych Theatre, en 1965,présenté l'année suivante à Paris dans une adaptation d'Éric Kahane - mise en scène de Claude Régy - et, en 2000, donné à la Comédie-Française. En 2012, Luc Bondy reprend la pièce à l'Odéon-Théâtre de l'Europe dans la présente traduction de Philippe Djian.
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