80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Après "Résurrections", son premier thriller génétique, Michael Cordy persiste et signe un roman au suspens terrifiant.
2008: partout sur la planète le crime et la violence dominent. Deux femmes scientifiques, ayant subi dans leur enfance des sévices terribles, travaillent sur l'éradication du gène de la violence. Puisque 90 % des crimes sont commis par des hommes, ne faut-il pas modifier les gènes masculins afin de créer un nouveau type d'humain mâle? Chaque nouvelle naissance sera alors porteuse de paix. Mais, dans l'ombre, l'expérience est poussée plus loin: le Projet Conscience prévoit de sacrifier tous les représentants de l'espèce masculine.L'agent spécial Luke Deker, profileur d'une exceptionnelle intuition, va découvrir par hasard la véritable nature de cette opération et se retrouver malgré lui dépositaire de l'avenir du monde. Karl Axelman, l'un des plus sinistres "serial killer" des dernières années, le convoque et lui fait une révélation terrifiante: il est son père génétique. Luke demande alors à son ancienne petite amie, Katryn Kerr, généticienne, de lui confirmer cette filiation odieuse. Aucun doute n'est possible. Aucun doute aussi qu'on ait récemment manipulé les gènes d'Axelman. Et lorsqu'on retrouve Axelman suicidé dans sa cellule, les deux jeunes gens comprennent qu'il s'agit d'une affaire de suicide génétiquement programmé. Dès lors, ils n'ont plus le choix: coûte que coûte et au péril de leur vie ils devront faire échouer le Projet Conscience...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année