"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Gustaw Herling déroule le fil de ses récits sur fond de paysages italiens, de villes, de cathédrales, de ruines et de tableaux qu'il regarde d'un oeil émerveillé. Il les décrit avec une force d'évocation qui en fait des acteurs de l'histoire. Capri, Naples, Rome, Orvieto, Venise enfin, la plus belle de toutes, ville «bâtie de songe». C'est là que le narrateur du Portrait vénitien vivra une étrange aventure, amoureux à la fois de l'oeuvre de Lorenzo Lotto, de la ville et d'une femme mystérieuse dont il cherchera à percer le secret.Vieilles chroniques et grimoires, voyages et rencontres sont le point de départ de ces récits où le «normal» ne se laisse pas séparer de l'«étrange». Rompant la ligne droite d'une narration classique, Herling entrelace les motifs de l'intrigue et mélange les genres. C'est, le plus souvent, un récit dans le récit, et - tout au bout - un secret, parfois terrifiant. Car le Mal n'agit pas en dehors des limites du Bien et l'homme est autant la victime que l'instrument du Mal. Mais Gustaw Herling ne juge pas, il se contente de montrer. S'il est vrai que l'existence humaine est pleine d'horreur et de souffrance, la beauté du monde, les merveilles de l'art et la miséricorde sont là pour nous sauver.
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