Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
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Ce roman de Laurent Gounelle, aborde de façon légère et de manière philosophique version « grand public » les bases de notre civilisation. De l’éducation qui pointe du doigt les erreurs mais ne félicite ou ne conforte pas les élèves, aux nouvelles technologies qui isolent en nous donnant l’illusion d’être au sein d’une communauté vivante. Plus on avance dans ce roman plus on se dit qu’on est bien loin de notre nature première.
Sandro, le personnage principal, arrive au sein d’une communauté d’indigène afin de se venger de la mort de sa femme. Sa vengeance est simple, détruire et changer ce peuple à la base de leur fondation, de leur nature. Petit à petit, il va réussir à instaurer la peur, la jalousie, la fierté, l’envie ….
Comme tous les romans de ce monsieur, il nous fait réfléchir. Très abordable pour tout novice en philo. Une lecture enrichissante sur le plan humain !
Dernier livre 2014 pour ma part, "le philosophe qui n'était pas sage" ne restera pas pour moi dans les annales. Je dirai même que c'est le Gounelle que j'ai le moins apprécié.
Déjà car tout est écrit d'avance... et qu'on devine ce qu'il va se passer et quasiment comment cela va se passer. Grosse déception sur ce point.
Ensuite, car c'est violent et ca fait toujours "bizarre" de lire de telles choses alors qu'on parle de philosophie et de développement personnel.
Pourtant, les descriptions sont belles, les citations de Marc Aurèle explicitent bien les états d’âmes de Sandro.
On est amené à s'interroger sur la société matérialiste d'aujourd'hui, les souffrances (la vengeance ou le pardon?)... La joie et la simplicité de vie des Indiens nous prouvent beaucoup de choses.
Mais cette fin à l'eau de rose est décevante.
Désolé si vous me trouvez sévère mais cette fois je n'ai pas adhéré.
C'est le 1er livre de Laurent goût elle que j'ai lu. J'ai bien aimé ce conte philosophique, plein de recul et de parallèle avec notre société de consommation. Quand un philosophe se retrouve chez les indiens d'Amazonie.... La question du bonheur avec peu d'objets matériels prend tout son sens. Bien écrit, facile à lire, ce livre peut permettre un 1er accès autour du développent personnel ;0)
L'idée de base est assez bonne mais je me suis ennuyée. Très moralisateur, c'est un roman rempli par une succession de lieux communs. Parfois amusante l'histoire n'arrive pas à trouver son rythme pour nous emporter. Dommage...
Un livre qui se lit avec plaisir mais dont la réflexion sur la société de consommation et ses pièges demeure simpliste .
Un vrai voyage dans le coeur de l'Amazonie où les autochtones, heureux dans leur simplicité et leurs valeurs, se retrouvent confrontés à la sordide réalité du monde occidental. On peut y voir un parallèle avec la manipulation des masses dans nos sociétés. Les bourreaux redoublent d'ingéniosité pour parvenir à leur fin: rendre le peuple de la jungle malheureux. Simple dans le style et agréable à lire.
Une très belle fable, parfaitement tournée, qui montre pas à pas, sans caricatures, la face obscure de notre société, de nos propres travers... Donne à réfléchir... Je recommande !
Ayant été emportée par "Les Dieux voyagent incognito", j'étais impatiente du plaisir que j'allais forcément ressentir à lire celui-ci. Je suis déçue. Impossible de m'impliquer dans cette intrigue simpliste et tellement improbable. C'est un conte philosophique, me direz-vous, la crédibilité n'est pas indispensable, ce qui importe c'est le message transmis. Justement, si la vengeance est un plat qui se mange froid, le message, lui, a tout du plat réchauffé. Impossible de m'affranchir de l'impression de déjà vu, déjà lu, d'exploitation d'un filon très tendance en ce moment, celui du retour aux valeurs essentielles, à la communion avec la nature, au recentrage de soi sur le fondamental... L'idée n'est pas neuve ! Cette incursion de Sandro, professeur de philosophie chez les indiens d'Amazonie, semble être un prétexte facile pour se faire affronter deux conceptions de vie diamétralement opposées et mettre au piloris la dérive de notre société matérialiste. Je me suis ennuyée les deux premiers tiers du livre et je n'étais pas très loin de lire en diagonale pour terminer plus vite. Heureusement, le dernier tiers rattrape un peu la mise. Bon, ça se lit bien, on a quand même l'écriture élégante et fluide de Gounelle. On apprécie les références philosophiques, notamment à Marc Aurèle. Les conversations si décalées entre le guide Krakus et les indiens sont plutôt drôles mais la sauce ne prend pas. Ceci est mon ressenti mais je ne déconseille pas ce livre. Disons qu'il ne m'a pas touché au moment où je l'ai lu, il en aurait peut-être été autrement 2, 3 ou 5 ans plus tôt ou plus tard... Qui sait ?
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...