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Pour son dernier reportage avant le départ en retraite, Gabriel est envoyé par son journal aux confins de la campagne normande, à Saint-Jean-des-Près. Ce petit village de deux cents âmes va changer sa vie.
Au café de Camille, ultime commerce en activité, Gabriel se découvre de nouveaux amis qui l'encouragent à écrire de drôles d'hommages... les oraisons funèbres des défunts du village : leur mot de la fin.
Gabriel devient l'écrivain public des cercueils, la plume des « sans-vie » qui n'auront plus jamais mal aux dents. Geneviève, René, André, Raymonde, Roger, Émile... les inhumations s'enchaînent et la petite entreprise morbide de Gabriel se porte de mieux en mieux. Jusqu'au jour où, sans que personne ne comprenne pourquoi, Gabriel quitte brusquement le village...
Si Philippe Bertin se garde de toute ressemblance « avec des situations réelles ou des personnes existantes », sa carrière de journaliste en Normandie lui inspire les vies truculentes de personnages particulièrement attachants. Dans ce roman, vivants et défunts partagent ainsi des histoires aussi drôles que touchantes.
Un récit savoureux côtoyant la mort avec gaieté et humilité, dans un monde rural bien loin des clichés...
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