Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
En 1891, Louis Denfert, jeune et impétueux reporter au Petit Eclaireur, ronge son frein entre chroniques sportives et articles mineurs lorsqu'il est envoyé en reportage à Dijon sur une affaire au parfum de scandale : une honorable gouvernante anglaise a été retrouvée, dans le train de nuit Paris-Marseille, sauvagement égorgée et démembrée. Ce meurtre aurait-il un lien avec la disparition, un an auparavant, dans le même train, de Louis Aimé Augustin Leprince, un inventeur franco-anglais qui venait de mettre au point un appareil de projection d'images révolutionnaire ? Louis était impatient d'en découdre, il va être servi ! Brigitte Aubert plonge au coeur de la glorieuse épopée des pionniers du cinématographe. Dans les coulisses de la lanterne magique, péripéties, mystères et drames se succèdent à un train d'enfer !
Louis, journaliste, a la charge d'enquêter sur le meurtre d'une jeune femme, anglaise, Mathilda, coupée en morceaux dans un train. L'enquête le mène donc en Angleterre. Mathilda aurait eu un lien avec les partisans d'une secte satanique. Ce n'est pas le seul lien. Elle aurait aussi évolué dans un milieu d'artistes peintres (appréciant la peinture morte, mais je vous laisse découvrir ce que j'entends par là) et de scientifiques. Elle aurait été en contact notamment avec l'inventeur du cinéma. Louis a la chance d'être aidé par plusieurs personnes rencontrées au hasard de ses aventures.
Difficile cependant de suivre l'histoire car les meurtriers possibles se multiplient et certaines personnes ne forment ensuite plus qu'une, ayant une double identité sans compter leurs multiples complices. Bref, une vaste organisation.
L'intérêt est de pouvoir replonger dans cette Angleterre de la fin 19ème siècle et de redécouvrir ces inventions telles que le cinéma, la caméra ou le téléphone...
Louis, journaliste, a la charge d'enquêter sur le meurtre d'une jeune femme, anglaise, Mathilda, coupée en morceaux dans un train. L'enquête le mène donc en Angleterre. Mathilda aurait eu un lien avec les partisans d'une secte satanique. Ce n'est pas le seul lien. Elle aurait aussi évolué dans un milieu d'artistes peintres (appréciant la peinture morte, mais je vous laisse découvrir ce que j'entends par là) et de scientifiques. Elle aurait été en contact notamment avec l'inventeur du cinéma. Louis a la chance d'être aidé par plusieurs personnes rencontrées au hasard de ses aventures.
Difficile cependant de suivre l'histoire car les meurtriers possibles se multiplient et certaines personnes ne forment ensuite plus qu'une, ayant une double identité sans compter leurs multiples complices. Bref, une vaste organisation.
L'intérêt est de pouvoir replonger dans cette Angleterre de la fin 19ème siècle et de redécouvrir ces inventions telles que le cinéma, la caméra ou le téléphone...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !