Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Exception faite de ses essais de linguistique, pratiqués seulement par les érudits, la gloire d'Arthur Keelt (Klagenfurt, Autriche, 1902 Paris, 1982) tient à cet unique et bref récit, Le Merle (Die Amsel), écrit en 1954 dans les montagnes de Styrie et publié à Innsbruck.
Le livre a fait l'objet d'une première traduction française en 1968, puis il a disparu, au grand dam des lecteurs éclairés. Le Merle est-il une chronique autobiographique ? Comme le souligne Jean-Bernard Pouy, son nouveau traducteur, il convient plutôt de parler de " récit voltairien ", même si son auteur en est le personnage central. Arthur Keelt se voulait un bouddhiste atypique. Peut-être doit-il à cette disposition d'esprit une écriture toute de simplicité et qui parfois atteint à la grâce, ainsi qu'une rare hauteur de vue (2277 m).
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