"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
1965. Lycée Henri IV. Le narrateur a quatorze ans et la rage au coeur. Depuis le lycée qu'il fréquentait à Lomé, où son père était diplomate, la haine ne l'a pas quitté. Chaque jour, il se venge, de la méchanceté ambiante, de l'injustice...
Le lycée est un microcosme à l'image de la famille, où tout se passe en huis-clos. Tout est teinté d'une violence sourde à laquelle il est difficile de répondre... et de ne pas céder. La solution semble être de tout détruire pour mieux recommencer.
Le narrateur terrorise ainsi les " profs " et dessine des moustaches aux statues du cloître. Mais une affaire de vol dans un vestiaire lui vaudra d'être expulsé... Le voici au lycée Michelet de Vanves. La violence le suit, l'accompagne, car c'est la société qui ne change pas. Le Lycéen est l'éternel roman de l'adolescence dissipée, coléreuse.
J'ai essayé, vraiment, d'autant que j'avais un avis positif avant de commencer. C'est mon premier livre de cet auteur. Je n'ai pas réussi à le terminer, ni même a atteindre un peu plus que la moitié. Il est bien construit, il y a une histoire sous-jacente mais je n'y ai trouvé qu'un déversement de violence dans les mots, les situations, les personnages. Le monde est tordu, je peux partager cette vision, mais pas cette écriture.
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