80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Qu'il brosse le portrait de Nelson Mandela, qu'il évoque la figure de Bob Marley ou qu'il restitue en eau-forte le calvaire d'une Frida Kahlo puisant dans ses plaies la force de créer, Mario Vargas Llosa nous parle ici de ses passions et de ce vice impuni qui l'a toujours possédé : une inlassable curiosité pour le monde dans lequel nous vivons. Il ne faut donc pas s'étonner qu'il soit devenu au fil des ans l'un des chroniqueurs les plus présents et les plus lucides de notre temps. Mais Le langage de la passion n'est pas seulement une vaste fresque où l'on retrouve les événements, les personnages et les débats qui ont marqué la fin d'un siècle et le début d'un nouveau millénaire. En filigrane, Mario Vargas Llosa dessine également l'autoportrait d'un homme en mouvement qui regarde son époque avec fascination et avec méfiance, toujours ouvert et concerné, toujours critique et vigilant.
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