Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
"Cette nuit j'ai rêvé que je retournais au Cimetière des Livres Oubliés. J'avais de nouveau dix ans et je me réveillais dans mon ancienne chambre pour sentir que le souvenir du visage de ma mère m'avait abandonné. Et je savais, comme on sait les choses dans les rêves, que c'était ma faute, seulement la mienne, parce que je ne méritais pas de m'en souvenir et je n'avais pas été capable de la venger". Le dernier volume tant attendu de la saga aux 50 millions de lecteurs, commencée avec «L'Ombre du vent». Magistral final du Cimetière des livres oubliés.
Ma plus belle découverte d'écriture espagnole.
Addictif, culturel, plume magnifique, sans psychodrame mais tout en ayant une profonde lecture des sentiments humains.
Ce dernier tome prouve l'évolution et la maturité de l'écriture de Carlos Ruiz Zafon. Son livre le plus abouti à mes yeux.
Il est difficile de le résumer, voire même d'en laisser des bouts d'histoire tant il surfe entre rêve et réalité, entre entre humanisme et féérie.
L'histoire des blessures de l'Espagne du 20ème siècle y est décrite sans lourdeur, sans ténèbres mais réaliste au point de vous apprendre bien plus de choses que ne le ferait un livre d'histoire.
Il est tout en maturité de l'écrivain ; son style y est à son summum.
En apprenant qu'il était mort en 2020, à 56 ans, je me suis dit que l'Espagne avait perdu, bien trot tôt un de ses meilleurs écrivains. Intense tristesse pour moi.
Grâce à Zafon je me suis approchée de l'écriture espagnole. Grâce à l'esprit de cet homme j'ai réussi à me retrouver dans un autre monde, celui-là même que j'avais souvent du mal à comprendre dans beaucoup d'autres roman
Onirique oui, mais avec les pieds sur terre.
J'ai été ravie de retourner dans le Barcelone de Carlos Ruiz Zafon, contente de retrouver tous les personnages et d'apprendre à en connaître de nouveau, surtout Alicia. Ravie de retrouver l'atmosphère du cimetière des livres oubliés, et me dire que j'aurais aimer me retrouver dans ce lieu magique sous cette grande verrière.
Un livre à lire absolument enfin je devrais quadrilogie à lire absolument!
Adieu Barcelone…
Ce roman est un mon coup de cœur pour plusieurs années !
Un grand merci aux Editions Actes Sud pour ce cadeau dans le cadre des 40 ans de la maison qui m’a permis de découvrir la fin de la quadrilogie du « Cimetière des livres oubliés » narrée par la plume toujours remarquable de Carlos Ruiz Zafon.
Ce trésor de lecture qui m’a tenue éveillée et qui a illuminé mes vacances est un chef d’œuvre d’intrigue qui navigue constamment entre le réalisme, le fantastique, voire l’onirisme et un magnifique hommage à la littérature avec un grand L.
Ayant lu « L’Ombre du vent », j’ai retrouvé par un jeu de miroirs et avec un immense plaisir non dénué d’émotion les personnages de la famille Sempere, Julian Carax, héros intemporel et surtout Barcelone, personnage à part entière de Zafon.
Ce roman m’a émue, touchée, questionnée, interloquée, intriguée et divertie…bref m’a enrichie avec toute une palette de sentiments ; il vous prend aux tripes et ne vous lâche plus.
De la guerre fratricide espagnole à la libération des mœurs, de Barcelone à Madrid, l’auteur nous transporte dans son monde réel, imaginaire, rêvé et nous fait vivre de l’intérieur ses histoires, ses peurs au travers d’un personnage central, Alicia Gris, tour à tour petite fille puis espionne à la 007, torturée par ses blessures et ses démons qui mène l’enquête sur la disparition d’un ministre et dévoile une plongée dans les heures sombres de Barcelone sur fond de pouvoirs, trahisons, corruptions, propagande. Un labyrinthe d’horreurs et de suspense, à l’architecture arachnéenne et aux rebondissements multiples.
Un roman dramatiquement majestueux, un polar hors norme, une mise en abîme vertigineuse.
pour tous les fans du" cimetière des livres oubliés" , ce quatrième et dernier opus m'a une nouvelle fois embarqué dans son univers particulier mélangeant le fantastique, l'histoire espagnole et l'amour. Un roman ou l'on retrouve la famille Sempere avec plaisir. Un pur bonheur littéraire à lire absolument !
Ahlàlà , un pur bonheur que d'avoir retrouvé les textes de CARLOS RUIZ ZAFON , cette fois ci , c'est le dénouement du cycle du cimetière des livres oubliés . On est à nouveau plonger dans un monde sombre , violent , ou la plume de CARLOS RUIZ ZAFON nous entraîne dans les dédales des vies qu'on croyait connaître et on découvre le machiavélisme d'hommes bien en vue ...Le mal court , la vengeance s'insinue , dévore ,détruit ...On veut savoir qui est réellement le ministre de l'éducation nationale . Un altruiste , un monstre ? Fermin de Romero , Daniel Sempere , sa mignonne petite femme et bien d'autres vont aider une certaine Alicia à démêler le vrai du faux ...Dommage j'espèrais que LA fameuse biblhiothèque nous révèle plus de secrets mais peut être CARLOS RUIZ ZAFON nous réserve de nouvelles surprises ... En attendant , on ne le lâche pas ..
« Le labyrinthe des esprits », le dernier volet de la quadrilogie barcelonaise de Carlos Ruiz Zafon est enfin arrivé ! Comment va-t-il faire converger tous les éléments de son histoire foisonnante ? Comment a-t-il décidé de conclure le destin de ces personnages auxquels on s’est tant attaché ? Ses questions étaient en suspens et cette ultime aventure avait pour mission d’y répondre.
Pour ce faire, l’auteur met en place une nouvelle héroïne, Alicia. Celle-ci enquête sur une disparition de manière presque policière. Grâce à ses investigations, elle va côtoyer l’ensemble des acteurs que l’on a croisé précédemment et dévoiler l’affreuse histoire qui les rapproche. Plus de la moitié des 850 pages sont réservées aux aventures de cette femme de caractère et aux mystères, liés à l’Histoire de l’Espagne, qu’elle va révéler. Même si on a déjà rencontré certains des protagonistes, cette première partie a une trame et des informations complètement nouvelles et peut donc se lire indépendamment.
On ne retrouve nos personnages favoris, la famille Sempere, Fermin, Julian Carax… que dans la deuxième partie. Et là, compte tenu des allusions au passé, je conseille aux lecteurs/rices de lire au moins « L’ombre du vent » (ce ne sera pas une contrainte, c’est un chef d’œuvre !) avant d’attaquer ce livre, pour mieux appréhender l’univers et les personnages et profiter de cet épilogue. L’auteur boucle la boucle pour finir son œuvre en apothéose.
Malgré une plume toujours aussi maîtrisée et agréable, j’ai trouvé le récit un peu trop long par moments comme si l’auteur avait voulu délayer son scénario. Mais une fois ce pavé apprivoisé, je me suis retrouvé en terrain connu et j’ai tout simplement profité. Ce n’est donc pas sans un petit pincement au cœur que j’ai refermé la dernière page de la saga du cimetière des livres oubliés. Merci M Zafon pour cette épopée dense, parfois magique et surtout passionnante !
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