80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La littérature s'est toujours intéressée au travail. Les écrivains ont cherché à le définir, à le décrire, certains l'ont magnifié, d'autres condamné. Du Contrat social de Rousseau aux nouvelles technologies, la littérature a accompagné les mutations du travail, forgé les concepts d'aliénation ou de libération, interrogé sa nature - manuel contre intellectuel -, et parfois débouché sur des constructions de mondes et de sociétés utopiques. Aujourd'hui, l'ampleur du chômage et du sous-emploi donne un goût amer au travail. Majoritairement tertiaire, il n'est plus destiné à transformer la matière mais à répondre aux attentes de personnes. Le goût du travail peut alors être aussi celui des autres et de ce que l'on aime faire. Balade sur les voies du travail en compagnie de Stendhal, Baudelaire, Aristide Bruant, Saint-Exupéry, Prévert, Daniel Defoe, Karl Marx, Victor Hugo, Nicolas Boileau, George Sand, Khalil Gibran, Hannah Arendt, Alain et bien d'autres.
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