Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Mystérieux rapports avec les phénomènes météorologiques, entreprend de démêler les fils de son existence et de tisser la toile de son récit. Inspiré ou tracassé par de mystérieuses puissances, il commence une vaste rhapsodie où se mêlent non seulement sa famille adoptive et ce frère perdu qui voulait " voir derrière les choses ", mais aussi Escher et Zwingli, Ana, la faiseuse de temps, la gare de Zurich, le Toggenbourg, ce " long accord en mineur à travers l'histoire du monde ", la Thur, la raconteuse qui connaît tous les secrets.
L'écriture, inventive, ludique, jubilatoire est à l'image du ciel d'avril qui fait ce qu'il veut. Il existe une fleur qu'on appelle le désespoir des peintres. Le livre de Peter Weber appartient à l'espèce dite désespoir des traducteurs.
L'imprudent qui s'en approche s'aperçoit vite qu'il ne rendra quelque peu justice à son auteur qu'en faisant comme lui la pluie et le beau temps, en choisissant la liberté, en créant là où il ne peut pas imiter.
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