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Prenant pour objet la rencontre entre les arts, ce livre voudrait tirer les conséquences d'un paradoxe. Il semble en effet par moments que le meilleur point de vue pour parler d'un art soit celui qu'en offre un autre, comme s'il fallait, par exemple, en passer par la peinture pour traiter de musique ou par le cinéma pour aborder la littérature.
Un tel détour ne doit pas surprendre lorsqu'un lien de filiation ou d'influence existe déjà entre deux arts. Mais il est plus énigmatique, voire plus intéressant, quand aucun lien évident ne se dessine, et qu'un art semble mystérieusement disposer de certains secrets de l'autre, auxquels celui-ci, parfois, n'aurait même pas accès.
S'inscrivant dans le prolongement de l'oeuvre de Marie-Claire Ropars, à laquelle ils rendent hommage, les auteurs ont tenté ici - par des croisements multiples entre littérature, cinéma, peinture, musique, sculpture, etc. - de comprendre comment il arrive qu'un art offre le lieu le plus juste ou le langage le plus approprié pour en penser un autre.
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