"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
On ne présente plus Jacques Ancet. Grand poète, traducteur exceptionnel, il occupe une place prépondérante dans la littérature et la poésie de notre temps. Avec Le ciel sur la vitre, qu'accompagnent des oeuvres de Guy Calamusa », il invite son lecteur à renouer avec une lumière qui pouvait paraître éteinte ou captive d'un cri, aveugle, muette « comme cette parole qui se cherche sans se trouver ». Le vent se lève alors. C'est l'hiver ou le printemps. Des pétales de neige tombent sur les toits et des oiseaux, immobiles au-dessus des terres, semblent depuis des jours crucifiés à un peu de clarté. La suite sera donc « Hors-limites ». Genèse, encore, givre ou soleil, ombre toujours requise par celui qui, justement, « travaille pour les oiseaux ». Jacques Ancet s'en acquitte avec la grâce et la justesse qui ne sont qu'à lui.
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