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En avril 1927, dans un entretien au journal Prager Presse Maïakovski déclara :
« Ma plus récente passion est la littérature pour la jeunesse. Il est nécessaire de familiariser les enfants avec des notions nouvelles, avec une nouvelle approche des choses. Mon vif intérêt pour le sujet a récemment donné lieu à deux livres... » Quelques jours plus tôt, Maïakovski avait remis au Département de littérature pour la jeunesse du Gosizdat [Maison d'édition d'État fondée en mai 1919] le manuscrit de deux poèmes pour les enfants Le Cheval de feu et Tu lis et tu t'débines à Paris et en Chine. En mai de la même année, le poète évoqua de nouveau ces livres dans un entretien publié par le journal Epokha : « Je souhaite inspirer aux enfants quelques idées fondamentales sur la société. En procédant, bien sûr, avec toute la précaution requise.
Je raconte notamment une petite histoire à propos d'un cheval à roulettes. Je saisis cette occasion pour expliquer aux enfants combien de personnes ont dû collaborer à la fabrication d'un tel cheval.
Il y a par exemple un menuisier, un peintre, un tapissier. Ainsi, l'enfant se familiarise avec la nature sociale du travail. » Le Cheval de feu, superbement
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