"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tout débute en 1927 à Paris après que Minas, qui travaille dans un hôtel, a trouvé le corps de son ami Vahakn sur le sol de l'appartement qu'ils partagent. Minas raconte sa rencontre avec Vahakn dans les cafés du Quartier latin, les amis, leurs conversations avec Ziya, un étudiant turc à Paris. Puis le meurtre de Ziya par Vahakn qui se suicide. Parmi les lettres que s'échangent les personnages, au coeur du roman se trouve la lettre que Vahakn laisse à Minas pour expliquer l'énigme du meurtre de Ziya et de son propre suicide. La lettre raconte la déportation de Vahakn et de sa mère depuis leur village dans l'Empire ottoman ; la mort de sa mère et l'adoption de Vahakn par une femme turque, qui le viole et le maltraite ; ses sentiments d'aliénation et d'aliénation de soi en France ; et son incapacité à s'adapter à la vie après le traumatisme.
Connu pour son écriture innovante, Vorpouni remet en question les éléments narratifs du roman conventionnel en jouant avec la subjectivité et la linéarité. L'influence des courants littéraires et intellectuels français contemporains produit une création unique dans la littérature arménienne occidentale.
« Nous, les rescapés, nous devions essayer de vivre. »
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