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Ecrit dans les années 1920, ce court roman du « cycle » des greguerias (figure littéraire dont il est le créateur : humour + métaphore = gregueria / soit des sentences ingénieuses et en général brèves qui surgissent d'un choc entre la pensée et la réalité) n'avait jusqu'à présent jamais été traduit en langue française : c'est chose faite.
Parce qu'elle est illimitée, impalpable, insignifiante - « tout est sans pourquoi, tout est informe, rien n'a d'apparence » - l'aube est, sans doute, la meilleure métaphore du réel. De cet insaisissable avènement, Ramón Gómez de la Serna ne pouvait rendre compte que par l'étincelle de la gregueria. C'est pourquoi ce livre qu'il compose dans les années 1917-1918 est peut-être le paradigme de cette approche du monde par « gréguerisation » systématique. Il est, selon Rafael Conte, « l'un des meilleurs de toutes ces années, et le premier grand triomphe de la gregueria comme figure littéraire imposée par Ramón à l'histoire de la littérature universelle »...
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