Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
C'est toujours par la terreur que la pensée totalitaire s'immisce chez l'individu. Avec ce texte paru en 1946 dans la revue Commentary, Leo Löwenthal préfigure la philosophie du totalitarisme.
Alors que le progrès technologique lui a appris à suivre aveuglément des procédures, l'homme moderne, esseulé et déraciné, est devenu vulnérable. Les fascistes furent les premiers à exploiter politiquement cette pauvreté spirituelle. La terreur détruit les liens, confisque passé comme avenir, et expose aux manipulations. Frappées de stupeur, obnubilées par leur survie, les populations se retrouvent dans un état de dépendance infantilisant. Aujourd'hui, ni le terrorisme d'État, ni le terrorisme tout court, n'ont disparu. La lecture de Löwenthal s'impose, afin de briser enfin l'engrenage de la terreur...
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