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L'amnésie des derniers jours n'est pas un récit ordinaire. C'est ce que Éric Marty appelle une photofiction. Non pas un récit illustré par les très belles photographies de Jean-Jacques Gonzales qui ponctuent chaque chapitre, mais un récit qu'on pourrait dire animé par ces images.
Un homme qui dans la vie est un acteur genevois, se retrouve mystérieusement dans une villa près de Rome. À la suite semble-t-il, d'un accident de voiture, il a perdu la mémoire immédiate des jours qui viennent de s'écouler. Blessé aux yeux, il est momentanément privé du sens de la vue.
C'est précisément grâce au surgissement d'instantanés photographiques à la surface de son monde intérieur, qu'il va tenter de reconstituer son passé immédiat, et qu'un récit va donc naître des images, et avec ces images.
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