Gagnez " L'amie prodigieuse t.2 ; le nouveau nom" en partenariat avec les éditions Folio
«Si rien ne pouvait nous sauver, ni l'argent, ni le corps d'un homme, ni même les études, autant tout détruire immédiatement.» Le soir de son mariage, Lila, seize ans, comprend que son mari Stefano l'a trahie en s'associant aux frères Solara, les camorristes qu'elle déteste. De son côté, Elena, la narratrice, poursuit ses études au lycée. Quand l'été arrive, les deux amies partent pour Ischia. L'air de la mer doit aider Lila à prendre des forces afin de donner un fils à Stefano. L'amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d'Elena Ferrante, qui se conclut avec L'enfant perdue.
Gagnez " L'amie prodigieuse t.2 ; le nouveau nom" en partenariat avec les éditions Folio
On retrouve Lila et Elena. Toujours en compétition. C'est le temps de l'adolescence, des premières amours. Lina a encore un temps d'avance sur Elena, lui volant même son amour. Elena, par contre, poursuit ses études, toujours plus loin. Lila a des difficultés à l'accepter. Sa vie d'épouse et bientôt de mère n'a rien d'enviable. Parfois un peu redondant de par la longueur.
On retrouve Lila et Elena. Toujours en compétition. C'est le temps de l'adolescence, des premières amours. Lina a encore un temps d'avance sur Elena, lui volant même son amour. Elena, par contre, poursuit ses études, toujours plus loin. Lila a des difficultés à l'accepter. Sa vie d'épouse et bientôt de mère n'a rien d'enviable. Parfois un peu redondant de par la longueur.
Tome 2 de la saga d'Elena Ferrante.
Elena & Lila ont grandi, leurs rêves et leurs désirs aussi.
Aujourd'hui leurs chemins se séparent, parfois se lient, se confondent, l'une dans le désoeuvrement d'un mariage décevant, l'autre dans la détermination des études, suivant les désirs secrets de l'autre…
Des âmes miroirs, des vies qui s'échappent sur la côte napolitaine, des trahisons, de la passion, des déceptions : cette amitié survivra-t-elle au temps qui passe et ravage les hommes ?
Par-delà l'histoire, la question de l'auteur déchaine elle aussi les passions (l'auteur souhaite rester anonyme, la presse à sensation ne le souhaite pas elle !). Au passage on pourrait revoir « La prodigieuse Elena Ferrante » le documentaire de Giacomo Durzi : passionnant lui aussi !
Décidément le sceau de la passion marque au fer rouge cette « prodigieuse » saga.
Nos 2 héroïnes ont grandit et s'éloignent l 'une de l autre.
L'histoire d'amitié est sur fond politique , à l instar du film d Ettore Scola : Nous nous sommes tant aimé.
Plus difficile à lire que le 1er tome, mais une jolie découverte.
Bien que n’ayant pas apprécié la série, elle m’a permis de me remémorer le 1er tome pour mieux attaquer le 2ème.
Beaucoup axé sur la psychologie des personnages, l’histoire se déroule très lentement sans grands événements. C’est pourquoi j’ai trouvé la série longue et ennuyeuse ce que je ne ressens pas avec le livre.
Dans ce tome 2, Lila est mariée mais n’éprouve plus aucun sentiment pour son mari si ce n’est du mépris. Considérant avoir été trahie par son alliance avec les Solara, elle se montre odieuse avec lui et subit les coups qu’il lui donne en retour. Lénu, quant à elle continue ses études, toujours très amoureuse de Nino qui ne lui prête pas attention.
Ensemble, elles vont se retrouver en vacances à Ischia avec lui. Les choses ne vont pas tourner comme Lénu l’aurait souhaité…
*****
J'ai aimé replonger dans cette saga où dans ce 2ème volet, on ressent encore plus à quel point Elena manque de confiance en elle, se rabaisse sans cesse et se compare sans arrêt à Lila.
Leur relation est plus que jamais tumultueuse. Une amitié toxique ou les 2 jeunes filles ne peuvent se passer l’une de l’autre bien que Lila se montre toujours aussi cruelle et humilie souvent Elena.
Un peu lent mais une superbe histoire d'amitté
Des héroïnes attachantes
Elles ont désormais 16 ans, et leur chemins se séparent, de plus en plus nettement. Lina s’est mariée à 16 ans à Stephano, ce qui lui a apporté une vraie aisance financière et des responsabilités professionnelles. Mais elle regrette ce mariage le jour même de celui-ci et va s’employer à le saboter méticuleusement, pierre après pierre. Sa descente aux enfers sera longue mais implacable, victime de son propre caractère entier, Lila se saborde littéralement sous le regard incrédule de son amie Lena. Cette dernière, éternelle suiveuse, prend enfin son indépendance et se libère peu à peu de l’amitié toxique de Lina ; parce que oui, c’est bien une amitié toxique, même si elle met du temps à l’admettre. Elle poursuit des études brillantes, elle quitte enfin Naples, fait des rencontres, voyage et devient « quelqu’un », sans jamais totalement réussir à se débarrasser du « complexe de l’imposteur » qui lui est chevillé au corps. Tout au long de ce deuxième tome, les destins s’inversent, les vies se croisent, celle a qui tout réussissait s’enferment dans une spirale d’autodestruction pendant que son amie prend son envol en se débarrassant de la peau de la suiveuse. J’ai mis un petit moment à aller au bout de ce deuxième livre, d’abord parce que j’ai lu le premier il y a longtemps et qu’à cause de la multitude de personnages, j’étais au début un peu perdue. Mais plus j’avançais dans le récit, plus celui-ci s’éclaircissait et j’ai finalement préféré ce deuxième roman au premier. La personnalité des deux filles s’affine, celle de Lena, la narratrice, est plus simple à appréhender, c’est celle d’une gamine besogneuse, empruntée et timide qui trouve dans l’étude sa planche de salut. Reste à savoir si elle arrivera un jour à se défaire de cette sensation permanente de n’être à sa place nulle part, et sans véritable amour (mais la toute dernière phrase du roman peut ouvrir une petite porte). La personnalité de Lina, en revanche, est assez fascinante car horriblement complexe. Elle est tout à tour généreuse et adorable, puis détestable, manipulatrice et égoïste, son caractère entier, qui l’amène une fois de plus à mordre la main qui la nourrit (surtout si cette main est celle de la Camorra), lui apporte son lot de problème. Ses choix ne sont pas toujours très clairs, bien peu rationnels, cette fille reste totalement indéchiffrable. Les hommes, quant à eux, ne sont pas tellement mieux lotis, entre un Stephano lâche, un Nino insaisissable, un Rino piégé et un Antonio « mou du genou », ils ont beau s’en défendre, ils s’attachent tous à reproduire consciencieusement le modèle paternel, dans ce qu’il a de pire. La colonne vertébrale du roman est toujours là : la société napolitaine de l’après-guerre, la place des femmes, le poids des traditions et de la religion, l’importance croissante de la politique (et de la conscience de classe) et celle, toujours là comme une malédiction, de la Camorra. La ville de Naples coule dans le sang des deux jeunes femmes, dans le corps de celle qui part comme dans celui de celle qui reste. C’est d’ailleurs le sous-titre du troisième tome, lecture à suivre…
J'ai terminé le tome 2 de L'amie prodigieuse ...un peu agacée. Parce que les deux amies en grandissant n'ont pas beaucoup changé et que je les ai trouvées aussi têtes à claques qu'enfants. Parce que jamais je ne me suis dit que j'aurais aimé les connaitre, les rencontrer. Parce que ces deux filles ne me sont pas, mais vraiment pas sympathiques. Je me suis même un peu ennuyée au début du livre( heureusement qu'il y a la liste des personnages par famille au début car j'ai dû souvent y revenir pour m'y retrouver). Et puis malgré tout çà qui aurait pu être rédhibitoire, j'ai été à nouveau captivée par cette histoire d'amitié complexe, tordue et son contexte sociologique. La place de la femme dans la société, l'évolution du féminisme, mais surtout la difficulté de sortir de son milieu social d'origine (malgré ses études Léna garde un sentiment d'imposture et une conscience d'un manque de culture dont je suis curieuse de voir jusqu'à quand elle les trainera) sont au coeur de cette série et c'est une réussite.
Mais du point de vue humain, franchement quelle relation toxique ! Léna perd littéralement le peu de confiance qu'elle a en elle dès qu'elle est en présence de Lila et pourtant un certain temps du moins elle s'obstine à la fréquenter, incapable de résister à cette attraction qui la dépasse !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
Merci! Je n'avais pas aimé le premier et je me sentais un peu seule. Votre vision du tome 2 me conforte dans ma décision de ne pas tenter la suite...