"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
De 1899 à 1924, Henri de Régnier (1864-1936) se rend régulièrement à Venise et du haut de l'altana, cette terrasse couverte, contemple la Sérénissime. Son livre est un chant d'amour à la Cité des Doges, qu'il célèbre en une langue admirable, étonnamment moderne. " Venise vit toujours en la noblesse de ses pierres et de ses eaux, en une sorte de repos humblement magnifique, en un apaisement tranquille, et elle en communique le bienfait à ceux qui la fréquentent. Là, plus que nulle part ailleurs, on est à l'abri de tout désir. Nul lieu n'est plus propice que celui-là au détachement de soi et à la paix intérieure, et ce détachement se fait sans regret et cette paix s'acquiert sans tristesse. " Au fil des ans se noue une intimité profonde entre le poète et la ville. Au moment où il renonce à la " vie vénitienne " et invente un usage de Venise, Régnier peut enfin composer L'Altana, son chef-d'oeuvre.
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