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À Berlin, peu après 22 heures, Jules est au standard d'un service d'accompagnement dédié aux femmes en danger.
Son premier appel est celui de Klara, terrorisée à l'idée d'être suivie par un psychopathe. Un homme qui a peint en lettres de sang la date de sa mort dans sa propre chambre à coucher. Et ce jour se lèvera dans deux heures !
Oppressant, troublant, angoissant... L'un des romans les plus maîtrisés du numéro 1 allemand du thriller, qui une fois de plus, à l'image de ses personnages pervers, joue avec nos nerfs en virtuose.
J’ai été une fan de la première heure et, dès que j’en ai l’occasion, je continue à recommander Thérapie, le roman avec lequel Sebastian Fitzek s’est fait connaître. Depuis, j’ai eu d’autres coups de cœur, mais nombre de ses derniers thrillers m’ont déçue. Je continue pourtant à explorer l’univers de ce romancier allemand car j’ai envie de me laisser surprendre à nouveau. Aussi, quand j’ai su que L’Accompagnateur était sorti, je n’ai pas hésité bien longtemps.
C’est un thriller qui a le mérite de tenir le lecteur en haleine mais, à l’instar d’autres titres de l’auteur, il est parfois un poil too much… j’entends par là peu crédible. C’est intéressant car Sebastian Fitzek revient lui-même à la fin de son roman sur cette critique qui lui est régulièrement adressée : il considère qu’il est plutôt satisfaisant que le lecteur n’ait pas affaire à des romans trop crédibles, c’est-à-dire trop réalistes, estimant qu’il vaut mieux que les horreurs racontées existent dans la fiction plutôt que dans la réalité. Pour ma part, je considère comme crédible un roman auquel je crois et donc pas forcément un roman réaliste. Juste un roman suffisamment bien ficelé pour qu’il m’embarque et que je ne doute pas une seule seconde de l’enchaînement des événements ou de la psychologie des personnages, par exemple. En l’occurrence, j’ai apprécié la mise en scène très originale de L’Accompagnateur : dès le début du roman, Jules, « accompagnateur » téléphonique pour les femmes en danger, reçoit l’appel Klara, une jeune femme aux propos énigmatiques qui semble bien décidée à mettre fin à ces jours. Leur conversation constitue l’essentiel du roman et la tension ne cesse de croître car, pour Jules, il ne faut surtout pas que la conversation s’interrompe s’il veut mener à bien sa mission, sauver Klara. J’ai également apprécié le twist final que je n’avais pas du tout vu venir, je dois le dire. Quant au reste… je suis beaucoup plus mitigée. Il y a quelques détails sordides qui n’étaient peut-être pas nécessaires, des enchaînements d’événements auxquels on peine à croire, des situations presque cocasses et des personnages caricaturaux. Je n’arrive pas à dire si cela fonctionne, en tout cas je ne suis pas sûre que cela fonctionne totalement, même si l’idée de départ, qui constitue le ciment de ce thriller, est très bonne.
J'ai adoré comme tous les livres de Sebastian fitzek... j'attends le nouveau avec impatiente chaque fois car chaque fois il parvient à me surprendre
J'adore son style et ses rebondissements jusqu'à la dernière page
Jules effectue un remplacement au standard d'un service téléphonique pour les femmes qui se sentent en danger. Rares sont les situations critiques mais ce samedi soir , l'appel de Klara va changer la donne. La jeune femme est terrifiée à l'idée d'être la prochaine cible d'un tueur qui lui a déjà dévoilée la date de sa mort en l'écrivant avec du sang sur les murs de sa chambre. Il ne lui reste que quelques heures avant la date fatidique. Elle craint aussi son mari violent et commence alors le récit de ce qu'il lui fait endurer.
On retrouve le style brut de l'auteur qui n'hésite pas à détailler les pires atrocités de façon très visuelle, en alternant les points de vue de Jules et de Klara. Si bien qu'il arrive un moment où ma lecture est devenue malaisante, âmes sensibles s'abstenir, trop c'est trop. Alors même si je reconnais à l'auteur un talent pour maintenir un haut niveau de suspense et nous captiver avec des chapitres courts et de nombreux retournements, je n'ai pas réussi a dépasser certaines incohérences. On part dans une violence verbale, physique, psychologique et sexuelle à tout va, une surenchère qui ne se justifie pas, comme si en faire toujours plus allait faire que ce soit mieux. Au contraire plus c'est exagéré plus ça perd en crédibilité et pour moi c'est rédhibitoire. J'ajoute à cela une faiblesse dans la construction des personnages, notamment celui de Karla qui n'a généré aucune attache de ma part voir une certaine frustration face à ses réactions, ce qui est gênant dans un thriller psychologique. Je n'ai pas été convaincue par ce thriller malgré le thème des violences faites aux femmes qui me passionne généralement. Je suis certaine qu'il trouvera son public mais j'attendais plus de ce thriller. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2022/03/15/39373189.html
J’ai lu mon premier livre de S.Fitzek, tout à fait par hasard, il y a quelques années. Depuis, j’attends avec impatience son dernier thriller psychologique. Il y en a eu quelques uns moins réussis pour moi, mais celui-ci, vous tient en haleine jusqu’au bout.
Sur le thème des violences faites aux femmes, il parvient à rendre « sympathique » un serial killer. Mais impossible de dévoiler quoi que ce soit, juste garder à l’esprit, que les apparences sont toujours trompeuses avec cet auteur. Vous ne pourrez plus le lâcher jusqu’à la fin, une belle réussite. A bientôt Monsieur Fitzek !!
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