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Entrer dans le cinéma par le biais de la ville : c'est le but que se fixe cet ouvrage tout en proposant un vaste tour d'horizon de zones linguistiques et de genres cinématographiques variés.
De berlin à moscou, de barcelone à santiago du chili, de madrid, nevers, hiroshima, new york, los angeles aux bourgades naissantes du western, aux métropoles imaginaires de la science-fiction ou aux villes modernes de jacques tati, les communications de ce recueil croisent et complètent leurs approches. sont ainsi présentés des travaux où l'aspect documentaire et/ou fictif des villes donne lieu à une réflexion sur les moyens esthétiques mis en oeuvre par les cinéastes pour transformer la réalité par le biais de la stylisation, de la symbolique, de réminiscences intertextuelles, de l'adaptation des métaphores urbaines de la littérature, ou encore par une utilisation subjectivisée de tous les moyens de la représentation, parfois même jusqu'à transformer le tissu urbain en un tout organique dont la fiction présente l'harmonie ou, bien plus souvent, les pathologies.
Les aspects sociaux et politiques de ce tout constitué par la ville, et en particulier ces maux très contemporains que sont la marginalisation, l'aliénation ou le terrorisme, permettent également, dans un jeu de va-et-vient, de mettre en question les principes esthétiques utilisés pour leur représentation dans diverses cinématographies du monde. ce recueil se présente donc comme une confrontation de propositions visant à refléter la multiplicité des perceptions et représentations de la ville au cinéma, dans le but de susciter des regards et des questionnements novateurs, peut-être même provocateurs, sur le cinéma, ses modes de représentation et ses influences.
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