Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
La Truite rompt la glace, titre du premier cycle, écrit en 1927, donne son titre au recueil de 1929 qui en comporte six. Grâce au nerf et à la couleur de la traduction de Serge Lipstein, le public francophone va pouvoir enfin connaître un grand poète russe atypique. La truite prisonnière de la glace peut être perçue comme l'homosexuel frappé d'interdit et qui cherche à se libérer. Les coups de queue donnés par la truite rythment le progrès du recueil, au nombre de douze avec deux prologues et un épilogue : ce sont des moments émotionnels et non des étapes autobiographiques. Pas de chronologie à proprement parler, mais une poétisation du réel : une soirée à l'opéra, un petit-déjeuner, une lettre, le départ d'un amant... Mort et résurrection, mort et transfiguration car l'imagination créatrice de Kouzmine est empreinte de mysticisme, de gnosticisme, de religiosité. Les amants se retrouvent pour fêter au champagne l'An neuf.
Une Note de l'éditeur, une postface, des notes abondantes et une Notice biographique aideront le lecteur à entrer dans cette oeuvre originale injustement méconnue.
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