"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" En ce temps-là nous habitions Montmartre.
Une maison miraclifique de sept étages par temps calme et de six les jours de bourrasques. " Témoin d'événements extravagants, le dernier étage de cette Tour des miracles est le refuge de personnages grotesques, acteurs d'histoires absurdes, plongés dans un univers irrationnel. À ces êtres surréalistes, femmes-autruches mangeuses de pierres, voisines nymphos, acheteurs de cadavres, s'opposent les " pupazzi de pacotille ", individus normaux, s'il en est.
Georges Brassens nous livre une fresque railleuse et truculente sur la vie de cette confrérie extraordinaire, à l'image de son univers musical.
Pfff ! Que je suis longue à écrire cette critique.
Longue, et surtout, bien ennuyée. Et oui, parce que j’adore littéralement Brassens, tant pour sa vie que pour ses chansons. Pour l’unité entre sa vie et ses textes. Pour l’homme et pour le chanteur.
Et là, son roman, et bien… on y retrouve son vocabulaire, son esprit, poétique et paillard, mais il est difficile de ne pas se perdre dans ses délires.
Car oui, c’est du pur délire où se mêlent gauloiserie et humour noir.
C’est insolite et surréaliste, avec un arrière-goût rabelaisien.
Et donc, si je suis bien ennuyée, c’est que…..en fait, je n’ai pas tellement aimé et ça m’a plutôt lassée. Mais, je ne pense pas que Georges Brassens m’en aurait voulu. Ouf ! Heureusement.
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