Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Vador, violeur en série, se suicide en prison après la visite d'un mystérieux prêtre. Cette mort bouleverse d'étrange façon la vie de la capitaine Valentine Cara, qui se retrouve au coeur d'un drame familial. Alors que toute la police parisienne se mobilise pour retrouver un homme politique subitement disparu, les entrailles de l'ancien Palais de justice et les cellules désaffectées de la bien nommée Souricière sont le théâtre de scènes terrifiantes. Un homme qui se fait appeler Hadès condamne et, en véritable dieu des Enfers, juge ceux qu'il estime nuisibles à la société. Jusqu'au jour où le fantôme d'une femme de son passé revient le tourmenter.Scénarios criminels et darknet, hallucinations et crimes sectaires... La commissaire Edwige Marion voit se refermer sur elle et son équipe un piège qu'il semble impossible de déjouer.
Si vous avez déjà suivi la commissaire Edwige Marion dans ses enquêtes, vous connaissez une partie de son équipe, en particulier la capitaine Valentine Cara, qui vient d’épouser la médecin légiste Rose. Mais aussi le commandant Luc Abadie. Son collègue et amoureux le lieutenant Jean-Charles Annoux l’a quitté quelques mois plus tôt. Il se remet à peine de cette rupture.
Ce nouvel opus commence fort avec le suicide en prison de Vador, un violeur en série, et par la disparition inexpliquée d’un homme politique. Alors que Valentine devrait filer le parfait amour avec Rose, l’apparition soudaine de sa mère sur les bancs de la mairie lors de son mariage sonne la confrontation avec un pan de sa vie qu’elle ignorait jusque là.
Un décès dans une clinique inconnue, une famille plus dense que prévu ou même supputé, une enquête qui entraîne Valentine à la prison de Caen sur les traces de Vador et d’un mystérieux confesseur, un justicier cagoulé qui hante les couloirs sombres des sous sols du 36 quai des orfèvres, rien ne manque pour tenir le lecteur en haleine.
Les couloirs du 36 ont connus de nombreuses intrigues et de multiples passages, et apparemment le 36 Bastion a beaucoup de mal à rivaliser. En particulier dans l’esprit de ceux qui ont vécu la plus grande partie de leur carrière sur l’île de la cité. Pourtant, les sous-sols recèlent des secrets qu’il faut laisser tranquilles, et la souricière semble être un endroit dans lequel il vaut mieux ne pas trop s’attarder, tant l’esprit sordide des lieux paraît intact.
Danielle Thiéry a l’art et la manière pour faire avancer son intrigue tout en nous faisant vivre aux cotés de ses personnages. Une fois de plus, je me suis laissée embarquer par Marion et son équipe, par leur enquête qui aborde de multiple sujets, viol, violence sur les enfants, pédocriminalité, darknet, prostitution, justice et croyances, et les sentiments les plus divers, amour, haine, résilience, pardon, oubli, jalousie, vengeance, pour ne citer que ceux-là.
https://domiclire.wordpress.com/2022/12/01/la-souriciere-danielle-thiery/
Je n'avais jamais lu de roman policier de l'auteure qui fut la première femme commissaire divisionnaire de la police française. Eh bien, c'est fait, mais j'avoue humblement que je n'ai pas aimé. Bon, il en faut pour tous les goûts, et celui-ci n'est pas du mien. Beaucoup de personnages que je confonds, des dialogues creux ou pas vraiment intéressants et des longueurs, beaucoup de longueurs. Le livre se traîne, comme si encore une fois, il faut absolument, par contrat, écrire 400 pages et qu'il est alors nécessaire de délayer, d'ajouter des phrases inutiles au propos voire nuisibles au rythme et au style du roman. Tout cela fait que je m'ennuie, que cette histoire ne parvient pas à m'accrocher.
Je laisse les nombreux lecteurs et amateurs de la commissaire Edwige Marion ou ceux qui auraient envie de la découvrir à cette lecture qui pourra, pourquoi pas, leur plaire.
Danielle Thiéry connait bien La Souricière, cet espace entre le 36 quai des Orfèvres, lieu mythique abandonné au profit du Bastion, et le Palais de Justice de Paris. Seulement, la fiction qu’elle nous propose avec ce nouveau roman policier n’a rien à voir avec la réalité, sauf à ressortir du musée de la Police différents éléments de torture sado-maso trouvés lors des enquêtes.
Car, La Souricière couvre un certain nombre de sujets de déviance avec notamment la pédocriminalité, la vengeance, les milieux libertins et même le milieu politique !
Même si le roman s’ouvre sur le suicide d’un tueur en série spécialisé dans le viol de mineurs, ce sont une série de disparitions, notamment une dans le milieu politique, qui va aboutir à la saisine du Commissaire Marion et de son équipe pour enquêter.
L’équipe autour d’Edwige Marion fait toujours corps avec elle. Au début de La Souricière, la Capitaine Valentine Cara se marie avec sa bien-aimée Rose, médecin légiste. Mais, son passé viendra lui éclater en plein visage. Luc Abadie, en panne de compagnon pour l’instant, loge chez Marion, le temps de voir venir. Alix la psy modère comme elle peut les brusqueries de Cara, mais elle n’a pas son pareil pour décrypter les mots et les silences des suspects. .
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2022/07/25/danielle-thiery/
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