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1783. L'Islande, accablée par la misère, doit encore subir le joug du Danemark. Et le sort de Grimr, devenu orphelin, est plus cruel encore dans ce pays où l'homme se définit d'abord par son lignage. Doté d'une force impressionnante, il se sait capable de rivaliser avec les plus fameux héros de saga même s'il n'est le fils de personne. Il ne lui manque que l'opportunité de prouver sa valeur...
Un indispensable !
Un récit où l'Islande est un personnage à part entière.
C'est touchant, puissant et magnifique.
Grimr n'a plus de nom de famille, dans une époque où la saga fait tout, cette saga que l'on se transmet avec le patronyme. Grimr est donc un paria qui va être recueilli et élevé par un énergumène fantasque mais non dépourvu d'affection.
Voici donc la Saga de Grimr, celle qui va se créer, celle dont on se souviendra longtemps.
Il m'a fallu trois tentatives pour arriver au bout de cette lecture... c'est peu dire si je vous dis que je n'ai pas été très emballée par l'histoire. Dommage parce que le dessin est à tomber à la renverse !
C'est l'histoire de Grimr, pauvre et orphelin en Islande des années 1780, autant dire que son quotidien n'est pas joyeux. Heureusement pour lui, un homme un peu menteur, un peu voyou, mais très valeureux et loyal, va le prendre son aile. À partir de là commence son histoire, qui doucement mais surement, au gré des rencontres et des retournements de situation, se transforme en épopée !
Excellent album récompensé par le Fauve d'Or à Angoulême !
Une vraie poésie !
Grimr, tout jeune enfant, est pris dans l’éruption d’un volcan dont il est le seul survivant. Il est récupéré par des soldats qui veulent le revendre comme esclave puis sauvé par Viemar, un homme un peu voleur, avec qui il grandira. Après l’assassinat de Viemar, Grimr se retrouve seul et vit une histoire d’amour. Une vraie saga.
Cette BD est un joli conte qui ne finira pas forcément bien ou peut-être que si ! Le personnage de Grimr est émouvant, on le suit avec tendresse, c’est une sorte de « gros nounours » au grand cœur, c’est un personnage profondément humain. Les illustrations et surtout les paysages à l’aquarelle dépeignent bien la rude Islande. Dépaysant. Un très bel album.
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