"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Que peuvent nous envier les fourmis ? L'humour, l'amour, l'art. Que peuvent leur envier les hommes ? L'harmonie avec la nature, l'absence de peur, la communication absolue.
Après des millénaires d'ignorance, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont-elles enfin pouvoir se rencontrer et se comprendre ?
Sans se connaître, Julie Pinson, une étudiante rebelle, et 103e, une fourmi exploratrice, vont essayer de faire la révolution dans leur monde respectif pour le faire évoluer. Les Fourmis était le livre du contact, Le Jour des Fourmis le livre de la confrontation. La Révolution des Fourmis est le livre de la compréhension.
À la fois roman d'aventures et livre initiatique, ce couronnement de l'épopée myrmécéenne nous convie à entrer dans un avenir qui n'est peut-être pas seulement de la science-fiction...
"Mais c'est quoi cette fumisterie ??"
Voilà mon interrogation, incompréhension, choc face au dernier tome de la trilogie des Fourmis. Mais que s'est-il passé ? Pourquoi l'intrigue prend-elle une telle tournure ? Pourquoi plus rien ne fait aucun sens ? Pourquoi le scénario n'a ni queue ni tête ? Pourquoi Bernard Werber s'obstine à créer des personnages qui n'ont rien d'humain ? Pourquoi ne développe-t-il jamais ses personnages humains ? Pourquoi ?
Je pourrais encore continuer la liste de questions pendant longtemps...
Vraiment, je n'ai pas compris ce que l'auteur a fait avec ce dernier tome et j'ai été profondément déçue. On partait pourtant bien avec le tome 1, il y avait énormément de potentiel. Mais là...J'ai eu le sentiment qu'on dérivait complètement, l'intelligence artificielle prend trop le dessus sur le scénario de base. Sans parler de l'aspect sectaire et politique de plus en plus dominant et qui m'ont fortement dérangée, notamment dans l'encyclopédie du savoir relatif et absolu que j'adorais lire (ce n'est plus le cas avec ce tome).
Quant aux personnages, je ne vais pas épiloguer longtemps, mais ils étaient détestables. Je pense que c'est la première fois que je rencontre des personnages fictifs aussi horripilants. Cela est dû à l'auteur qui ne les développe pas et aux choix de scénario qui sont complètement illogiques.
Je me fais un plaisir (si on peut appeler ça comme ça) de vous parler très en détail de tout ce qui ne m'a pas plu et qui à mon sens n'en fait aucun dans ma nouvelle vidéo disponible sur ma chaîne YouTube (@revues_livresques). Je préviens, c'est salé...
N'hésitez pas à venir voir ma vidéo pour partager votre ressenti et dialoguer, même si vous avez adoré ce tome. C'est au contraire très intéressant d'avoir des avis divergents.
En tout cas, je suis réticente à l'idée de relire du Bernard Werber. Je vais laisser les thanatonautes dans ma PAL le temps de me remettre de mes émotions.
Le tome le moins inspiré de la trilogie. En plus le livre est bien plus long pour nous raconter une histoire avec beaucoup moins de coup de théâtre. Un bon livre qui engage l'auteur sur la voie du livre comme commerce et non plus comme art.
L'idée géniale à la base commençait à s'essoufler avec ce 3ème volet. Le procés reste quand même une scène d'anthologie.
Bien sur avec Werber le fond est toujours meilleur que la forme.
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