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C'est bien beau de prôner l'indignation, la rébellion, encore faut-il en faire quelque chose. Car il faut que ce soit positif. C'est ce qu'expliquent les auteurs de ce livre.
Se rebeller c'est avant tout s'opposer, mais contre qui, contre quoi et pour quelles raisons ? Si on a l'impression d'être victime d'injustices, méconnu, mésestimé, et qu'on se rebelle, le chemin pour en sortir passe par une meilleure connaissance de soi, et des autres, ainsi que de ses besoins et de ceux des autres. Car c'est souvent sur le terreau d'une mauvaise estime de soi et d'une mauvaise compréhension d'autrui que se développe ce sentiment.
Les auteurs montrent qu'au lieu de se figer dans une rébellion victimisation, il y a d'autres façons de se rebeller pour d'abord se protéger et, ensuite, se fixer des objectifs et un plan d'action. La rébellion positive n'est ni agression contre une autre personne, ni passivité, ni manipulation et encore moins remise en cause de l'autorité, mais un glissement de la position subjective qui fait que les choses vont changer.
Et le propos est valable autant dans la vie privée que dans la vie professionnelle.
En passant en revue concrètement les situations familiales, amicales et professionnelles, les auteurs aident le lecteur à comprendre ce qui se joue et comment les choses pourraient changer.
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