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La descente d'un promeneur accompagné.
La Rance et l'auteur entretiennent une liaison depuis l'enfance.
Descendre le fleuve côtier des collines du Mené jusqu'à la tombe de Chateaubriand, plutôt que de le remonter, dévoile une conception de la vie.
Douze étapes de leur itinéraire, d'une jeunesse rurale jusqu'à la dissémination océanique, en passant par leur urbanisation, leur ria maritime, exposent une intime harmonie.
Si les coups de coeur pour les plus séduisants vestiges du passé, récits ou édifices, ne manquent pas, l'amateur de fleuve croise au long de sa flânerie les mille délices, industries et soucis du présent.
Ni sage, ni savant, même s'il a glané de bons épis dans l'information, il se veut seulement le témoin de l'existence d'un humain le long du cours d'eau.
Le vrai marin rêve d'être pris par la mer. Le varappeur, de vaincre le roc.
L'auteur se plaît ici sur la rive, comme sur la côte, fasciné par la différence et la complicité entre deux états de la matière.
Le courant fraye son chemin à travers l'aspérité de sols variés. Contraste ensorcelant du socle qui sustente et du flux qui file.
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