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«Lire ou relire La Princesse de Clèves, c'est, avant même d'engager une démarche critique, se rendre attentif à ce que ce roman a d'exceptionnel aujourd'hui. Or, pourquoi ne pas l'avouer, La Princesse de Clèves est une oeuvre à laquelle il est nécessaire de s'acclimater aussi progressivement que l'on se fait l'oeil aux dessins géométriques des jardins de Villandry. Les trois siècles de romans qui nous en séparent nous ont habitués à des langages plus crus et des passions plus charnelles, à des beautés moins fades et des tragédies moins feutrées. [...] Comment se fait-il donc que ce petit roman au langage châtié, qui a beaucoup de traits et certains défauts de la société précieuse à laquelle il était destiné, ait été le plus grand succès de la fin du XVII? siècle, ait franchi rapidement les frontières des salons mondains parisiens pour arriver en province, ait été traduit en anglais une année seulement après sa publication, ait suscité l'émerveillement de tant d'écrivains et puisse continuer, malgré les changements si radicaux de moeurs sexuelles et d'écriture romanesque, à nous étonner ?» Henriette Levillain.
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