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Bruxelles, 1979. Alors que Neil Bannerman, un journaliste d'investigation envoyé par le Edinburgh Post, découvre les us et protocoles de la jeune Communauté européenne, un homme d'un tout autre calibre arrive lui aussi du Royaume-Uni. Ancien combattant des forces armées britanniques, Kale est devenu un tueur professionnel redoutable et s'il a rejoint le continent c'est pour une exécution. Un crime qui serait parfait si une étrange petite fille, incapable de parler ni d'écrire, mais extraordinairement douée en dessin, n'en était le témoin. Tania saura-t-elle donner un visage à l'assassin de son père ? En aura-t-elle le temps ?
Peter May lance un infernal compte à rebours dans la capitale belge, coeur de la vie politique européenne, épicentre de tous les jeux de pouvoir. Bannerman, l'Écossais impliqué à son corps défendant dans le meurtre d'un compatriote, pourra-t-il prendre de vitesse un assassin qu'aucune pitié n'a jamais arrêté ? Et, tandis que les autorités belges et britanniques s'acharnent à étouffer une affaire aux ramifications politiques, parviendra-t-il à démêler les motivations du meurtre d'un homme que beaucoup considéraient comme le futur Premier ministre du Royaume-Uni ?
Nous sommes à la fin des années 70. Neil Bannerman, journaliste écossais, est envoyé à Bruxelles par son rédacteur en chef (qui rêverait de le virer – si il n’avait pas autant besoin de son professionnalisme avéré …) Logé par son collègue belge – et ami – Tim Slater (père malheureux de Tania, une fillette autiste) Neil Bennerman va faire la connaissance de Sally, une jeune femme qui prend soin de l’enfant.
Kale est un tueur à gages, « missionné » à Bruxelles pour tuer Robert Gryffe, un ministre britannique qui pourrait bien devenir le prochain Chef du Gouvernement de sa Majesté, lors des prochaines élections … Ce que l’homme n’avait pas prévu, c’est la présence de Tania, l’enfant de sa deuxième victime, Tim Slater … Si la petite fille est dans l’incapacité totale de s’exprimer, elle sait toutefois formidablement bien dessiner … Et elle a eu le temps de voir le visage de Kale …
Un polar politique (un peu trop politique à mon goût d’ailleurs, je préfère nettement les intrigues policières plus « classiques » …) où viennent se mêler les souvenirs douloureux du journaliste écossais à ceux de l’assassin. Mais qui donne cependant envie de savoir si il y aura une « Happy end » pour Neil Bannerman et Tania Slater – ou pas ! –
Ma première tentative littéraire concernant l’oeuvre de cet auteur écossais, qui – en dépit d’une écriture de qualité – ne m’a pas complètement convaincue …
Un Peter May captivant et prenant...
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