"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La perte de soi : nécessité intérieure et autodestructivité La perte de soi est souhaitable pour tout un chacun, au titre d'une nécessité intérieure. Se parler et parler, être présent dans les mots et être représenté par les mots : cela suppose de consentir à se perdre, à ne jamais coïncider avec soi-même.
À l'opposé, il est une autre ?gure de la perte de soi, relevant de la destructivité et de l'autodestructivité : la disparition de soi à soi-même. Comment survivre à cette perte ? Telle est bien la question posée par « l'existence limite », qui traverse tout le livre.
Avec deux éclairages, aussi indirects qu'essentiels. D'une part, le dialogue de Freud et Ferenczi, destructeur et créateur, qui re-commence la psychanalyse. D'autre part, l'écriture survivante de Kertész, qui fait oeuvre de l'e?acement.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !