"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Précédé de "Les mots du regard" de Clélia Pisa Dans son appartement confortable de Rio de Janeiro, une femme commence sa journée, seule, face à une tasse de café. Elle a dû prendre cette sorte de congé pour s'occuper de son appartement à la suite du départ de la bonne. Il y a ainsi une première rupture du rythme quotidien de cette femme. C'est la raison pour laquelle elle entame une interrogation sur le cours habituel de ses jours. Après, elle découvre dans quelques signes laissés par la domestique qu'elle a vécu de longs mois à côté de quelqu'un, resté totalement étranger. Commencent alors à sourdre les indices d'une seconde interrogation, plus large et plus complexe, qui part de ce point précis : son ignorance de l'autre, c'est-à-dire, de la domestique et de son monde...
... C'est en cherchant le sens primordial de ce qu'elle voit et ressent, et en essayant de comprendre les liens éventuels entre tout cela et Dieu, que G.H. avance, de station en station, dans sa passion, qui est à la fois un cri de douleur et de joie.
Clarice est poésie. En lisant la passion selon G. H on se sent inquiet. Tellement angoissant, humain et drôle, l'héroïne découvre son identité à partir d’un insecte écrasé.
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