Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
" Excellent exemple de l'érotisme surréaliste d'avant-guerre, La Papesse du Diable (1931) semble dû à la collaboration d'Ernest Gengenbach et de Robert Desnos.
" (Alexandrian.) On y assiste à l'entrée dans Paris de la " Maîtresse de l'Asie, l'Archimagesse maintenant Reine du Monde ", à la tête de ses hordes qui viennent de conquérir l'Europe. Thème cher aux surréalistes, la grande prêtresse du Diable est en fait Isis, la femme, la mystérieuse, l'archétypale.
Paris est bouleversé ; les rues sont débaptisées ; victoire du Mal absolu sur les forces bénéfiques : le Grand Androgyne trône à Notre-Dame ; le pape prisonnier est crucifié sur la tour Eiffel.
Tout se termine par la fin du monde et dans une dernière " orgie sacrée " générale : " Un désir lascif entrouvrait les genoux des femmes, les yeux des hommes brillaient. Partout des pleurs, des râles, des écroulements de tableaux et d'objets culturels, des crispements de soies. Des chiens venus on ne sait d'où, couvraient les femmes en haletant. Un adolescent, les bras en croix, gémissait lentement, à demi-étouffé sous quatre femmes.
Trois hommes dans un coin s'étreignaient en miaulant comme filles enlacées se tordaient sur un divan... "
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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