Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
« En ouvrant La Nuit de la philosophie, on est immédiatement aspiré par son mouvement, par le tourbillon du néant. Le nouveau roman de Lars Norén est une oeuvre de la négation, où la fin est le commencement, la mort est l'issue de chaque lettre vivante, c'est un monologue qui s'auto-dévore. C'est aussi un retour littéraire qui nous ramène à la prose et à la poésie de Norén d'il y a 30 ans. Le nihilisme de Norén n'a jamais été aussi beau. »
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