Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Le thriller n°1 des listes de best-sellers en Angleterre et en Allemagne.
Dans les bois de L.A., une jeune femme est retrouvée sauvagement assassinée. Sans visage. Sa peau a été arrachée alors qu'elle était encore en vie. Taillée sur sa nuque, une marque que le détective Rob Hunter ne connaît que trop bien : un double crucifix...
Et pourtant, Hunter croyait avoir arrêté le Tueur au crucifix deux ans plus tôt. S'agit-il d'un imitateur ? Mais comment celui-ci aurait-il eu accès à ce détail de l'enquête jamais rendu public ? Ou alors il faut admettre le pire : le vrai coupable court toujours.
C'est le début d'une traque de tous les dangers qui va conduire Hunter des clubs branchés du Strip Boulevard aux planques isolées du Griffith Park en passant par les villas de Malibu et les bas-fonds de Pasadena.
Les rouages d'une implacable machine à suspense sont en marche dans ce thriller au rythme effréné qui nous plonge au coeur de la jungle urbaine de la Cité des Anges.
Véritable page-runner, cette enquête policière commence dès les premières pages sur les chapeaux de roues. Une fois commencé, vous ne pourrez plus lâcher ce livre. Ce n’est pas de la grande littérature mais on passe un moment divertissant où on ne peut s’empêcher d’essayer de découvrir le coupable. Pour moi, ce suspens a rempli sa mission : me changer les idées et passer un bon moment.
Les chapitres sont courts et même si l’histoire a été écrite en anglais et donc, traduite, le style d’écriture est vraiment fluide. On ne se retrouve pas devant des phrases alambiquées s’étendant sur de plusieurs lignes. Les décors sont décrits de manière cinématographique et je verrais bien ce thriller transposé au petit (ou grand) écran.
Chronique complète : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/03/la-marque-du-tueur-de-chris-carter.html
Un très bon thriller de par sa structure, son intrigue parfaitement maîtrisée pour un premier roman, son atmosphère terriblement angoissante, son tandem d'enquêteurs (Rob Hunter et Carlos Garcia), son écriture dynamique, sans fioritures, et très efficace.
Je le recommande aux amateurs du genre.
Chris Carter vit à Londres. Né au Brésil, d'origine italienne, il a travaillé au bureau du procureur du Michigan comme psychologue criminologue. Son personnage principal ne manque donc pas de crédibilité. "La marque du tueur" est le premier volet de la série des enquêtes de Rob Hunter qui se poursuit avec "Le prix de la peur".
Un excellent thriller qui tient en haleine jusqu'au bout. Je lirai la suite avec plaisir.
ce livre est un petit bijou, le temps d'une lecture j'ai ressenti les souffrances morales et physiques, la frustration des personnages. Ces deux inspecteurs sont très attachants. Ce récit est dur et fait "froid dans le dos"
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !